Le projet D’EGLISE EN ASHRAM est le fruit d’un dialogue entre spécialistes des religions, géographes, graphiste, développeurs web et responsables religieux. Tout au long de ce travail, le CIC a tenu à concilier une approche scientifique, esthétique et technique.

Réalisation et rédaction : Brigitte Knobel, sociologue, directrice du CIC, Camille Gonzales, historienne des religions, collaboratrice du CIC, Julie Montandon, sociologue des religions, collaboratrice du CIC.

Expert scientifique : Jörg Stolz, professeur de sociologie des religions à l’Université de Lausanne.

Graphisme : Manon Mello, designer graphique, Genève.

Site internet : Fabrice Cortat et Emmanuel Piguet (Wonderweb).

Fonds de cartes et constitution de bases de données géo-référencées : Markus Kessler, ingénieur en géomatique au Système d’information sur territoire genevois (SITG) et Bénédicte Loisel, géographe au Service de la mensuration officielle.

Conseils en cartographie : l’Institut Chôros de l’EPFL et Micheline Cosinschi, professeure associée à l’Institut de Géographie de la Faculté des Géosciences et de l’environnement de l’Université de Lausanne.

Le projet n’aurait pas vu le jour sans la participation des communautés religieuses et spirituelles de Genève, que nous remercions.

Nous remercions également chaleureusement les historiens, sociologues et anthropologues des religions, spécialistes des différentes traditions religieuses décrites dans ce site, pour leurs relectures attentives :

Daniel Barbu, historien des religions, maître-assistant à l’Université de Berne, Institut d’études juives; Jérôme Ducor, chargé de cours à l’Université de Genève, conservateur du Département Asie au Musée d’Ethnographie de Genève; Nicola Pozza, maître d’enseignement et de recherche en histoire et sciences des religions à l’université de Lausanne; François Ruegg, anthropologue, professeur à l’Université de Fribourg, Chaire d’anthropologie sociale; Monika Salzbrunn, Professeure ordinaire à l’Université de Lausanne, Directrice de l’Institut de sciences sociales des religions contemporaines (ISSRC) et de l’Observatoire des Religions en Suisse (ORS); Aline Schlaepfer, Maître-assistante à l’Université de Genève, unité d’arabe; Sarah Scholl, historienne, chercheure du Fonds national suisse de la recherche scientifique et de l’Université de Genève.